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Kristen March
Phil Collins, de son vrai nom Philip David Charles Collins, voit le jour le 30 janvier 1951. Déjà, à 5 ans, il semble manifester un vif intérêt pour le rythme vu la manière dont il frappe sur le petit tambourin que ses parents lui ont offert. Après des cours de batterie, qu’il prend en toute logique, il forme un petit groupe, The Real Thing puis commence vraiment les choses sérieuses avec la célèbre team de rock progressif Genesis, en compagnie du chanteur et non moins célèbre Peter Gabriel.

Album après album, en l’occurrence, après Supper’Ready ou A Trick of the Tail (qui regorgent de jolies mélodies à rallonge), Phil Collins développe un jeu très personnel. Il le développe tellement, qu’à la suite de Peter Gabriel qui a quitté le groupe depuis 1975, il décide de se lancer dans une carrière solo.

En 1981, il sort son premier album Face Value avec, pour la section cuivre, quelques comparses de Earth Wind and Fire. Les fans de Genesis y retrouvent le côté psychédélique et les gens l’achètent ne serait-ce que pour écouter en boucle le single « In the Air Tonight » qui fut classé 2e au Top 50 britannique.

Par contre, ces mêmes fans vont tomber de haut à l’écoute de son deuxième album Hello I Must Be Going en novembre 1982, dans lequel Phil Collins interprète à sa manière le morceau des Supremes « you can’t hurry love » !

Face à ce mécontentement, Phil répondra calmement : « on ne peut pas mettre les mêmes habits que l’on portait il y a dix ans, si ? » Après ça, on va avoir l’impression qu’il est partout. Il gagne un Grammy en 1985, il fait le concert Live Aid à Wembley, enregistre encore un titre avec l’un des chanteurs de Earth Wind and Fire qui sera classé n°1 en Angleterre, reprend du service avec Genesis (qu’il n’avait pas vraiment oublié) en sortant The Invisible Touch, fait des tournées un peu partout, incarne un gentleman cambrioleur dans Buster en 1988, etc. Pourtant, il garde les pieds sur terre et enchaîne show sur show, manière à lui de faire tout ce qu’il n’avait jamais osé faire sur scène avec Genesis. Et que dire encore du nombre de fois qu’on entend "Can't stop loving you" ou "one more night" quand on allume la radio ?
 
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